Surtout, surtout, si vous voulez ĂŞtre un mauvais manager, suivez ces conseils ! Après, nous on dit ça, on dit rien…
Après tout, vous êtes le chef, il faut bien qu’ils vous idéalisent un petit peu. Vous vous imaginez dire « je ne sais pas » ? Après ils vont vouloir chercher des solutions par eux-mêmes !
N’habituez jamais un collaborateur à prendre des décisions. D’abord parce que c’est vous le patron, et ensuite parce que s’il a besoin de ça pour se sentir utile, c’est qu’il ne bosse pas assez !
Évitez d’aller voir vos équipes, elles risqueraient d’être tentées de la jouer copain-copain avec vous. À chacun sa place tout de même. Et puis comme ça au moins, ils savent où vous trouver !
Quand ça ne va pas, faites-le savoir Ă vos Ă©quipes pour bien indiquer la voie Ă suivre ! Remettez toujours les pendules Ă l’heure. Les bonnes nouvelles, ce n’est pas votre boulot. Il y a le service com’ qui publie sa feuille de choux, ce n’est pas fait pour ça, la newsletter ?
Un outil pour donner du feedback en direct et au quotidien à vos collaborateurs (rires) ? Il y a l’entretien annuel d’évaluation pour ça !
Si certains managers peuvent adopter des comportements toxiques au bien-être de l’entreprise, il y existe aujourd’hui un genre de manager alerte, bienveillant et ancré dans les enjeux de l’entreprise d’aujourd’hui et de demain. On l’appelle le Chief Happiness Officer (CHO). Il est le garant du bien-être des salariés dans l’entreprise. Perçu comme une lubie pour certains, réel partenaire pour d’autres, le CHO occupe une place cruciale pour garder les collaborateurs impliqués, motivés et performants.