Le besoin de reconnaissance, autant comme signe d’identification d’une personne que comme marque de gratitude envers elle, arrive en 4e position de la Pyramide des besoins, représentation pyramidale de la hiérarchie des besoins des individus élaborée par le psychologue américain Abraham Maslow.
La reconnaissance n’est rien de moins qu’un carburant qui participe à notre joie de vivre.
Au travail, nous avons besoin d’obtenir de la reconnaissance par rapport à ce que nous produisons mais aussi par rapport à ce que nous sommes. Et savoir dissocier les deux n’est pas simple.
Combien de fois avons-nous pris comme des reproches personnels des critiques sur notre ouvrage ?
Or, nous ne nous réduisons pas à ce que nous produisons mais il y a un lien entre ce que nous produisons et ce que nous sommes.
Par ailleurs, la reconnaissance implique une relation entre deux êtres ; elle est donc toujours dépendante d’une personne tiers. Sentir les différents types et niveaux de reconnaissance est important pour se construire une perception juste de soi-même.
Ainsi, la reconnaissance dont nous bénéficions auprès de nos collègues en tant que personne est donc bien différente de celle dont nous bénéficions dans la pratique de notre travail ou dans nos résultats.
Chacun de ces aspects dit quelques chose de nous dans notre environnement de travail, et est révélateur de la manière dont nous y sommes gratifiés.
Quelle genre de reconnaissance attendons-nous au travail ? Est-ce une reconnaissance de notre façon d’être, de nos qualités humaines intrinsèques ou bien de nos productions et capacités d’exécution ? philosophie.entreprise@gmail.com
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