L’alimentation en France est le troisième poste d’émission de CO2 après le transport et le logement. Il faut donc se demander comment réduire notre émission de CO2 tout en satisfaisant nos besoins alimentaires. On pourrait penser spontanément qu’il est bien plus écologique d’apporter un plat cuisiné soi même que d’acheter un plat préparé mais ce n’est pas si simple.
Alors on fait le point sur les impacts écologiques de ces deux modes de consommation.
> Modes de culture des aliments
> Modes de cuisson et de préparation
> Modes de conservation
> Emballages
> Transports
> Gaspillage alimentaire
Pour ce qui est des modes de conservation, un plat réfrigéré est bien moins écologique qu’un plat surgelé. En effet les plats réfrigérés ont un impact écologique supérieur aux plats surgelés d’environ 15%, ce qui s’explique par les modes de cuisson utilisés par la suite. Mais un plat surgelé représente généralement moins de gaspillage alimentaire qu’un plat préparé à partir de produits frais, qui vont potentiellement s’abimer plus rapidement ou être achetés en quantités trop importantes. Cependant, le fait d’emporter ses repas au bureau – repas souvent composés de restes – aide à lutter contre le gaspillage alimentaire.
En moyenne l’impact écologique d’un plat fait maison est inférieur de 35% à celui d’un plat acheté dans le commerce. Ces derniers sont en général trop emballés et nécessitent des processus manufacturiers plus complexes.
Les plats préparés chez soi restent dans l’ensemble plus écologiques que les plats achetés dans le commerce. Mais cela dépend de la manière de les cuisiner, ils sont donc plus écologiques à condition de bien gérer ses achats et d’éviter ainsi le gaspillage alimentaire.
À l’inverse les plats préparés ne sont pas si mauvais que l’on pourrait le penser, à condition d’éviter les plats suremballés, de choisir des produits surgelés plutôt que réfrigérés et de réchauffer son plat au microonde après l’avoir, dans l’idéal, laissé décongelé au réfrigérateur.
L’impact de notre alimentation est aussi liées à la provenance des produits, à leurs modes de culture et de transport. De plus, l’impact des plats préparés sur la santé est bien plus néfaste que celui des plats faits maison.
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Juliette Brun Chargée de Marketing & Customer Success www.cocoom.com |
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